Découvrons l’Impertinent de chez O.Slow !
L’automne est une saison que j’attends avec une certaine impatience, pfff trop de chaleur…… Les paysages et la végétation y prennent toujours des couleurs flamboyantes, s’il y a du vent et/ou de la pluie cette année, je serai parée pour les braver avec mon imperméable recyclé nommé l’Impertinent signé O.Slow.
O.Slow est une jeune et dynamique marque française qui propose un vestiaire élégant et responsable pour s’engager sans se mouiller avec style en profitant de chaque instant quel que soit le temps !
Mon Impertinent est durable, imperméable, respirant et coupe-vent, l’automne n’a qu’à bien se tenir !
Il est tellement agréable et léger à porter, un confort que je recherche depuis très longtemps pour ce type de veste ! Trop trop contente de l’arborer à sur mes épaules !
L’origine d’O.Slow, deux amis, une prise de conscience
Jean-Baptiste et Igor les fondateurs d’O.slow sont amis d’enfance.
Leurs années de petits garçons jusqu’à l’âge adulte ont défilé entre la mer et la nature, de la Bretagne aux Alpes avec un passage par l’espace urbain pour les études sup.
Cette amitié de longue date a fait émerger un projet commun par besoin de défier la routine de la vie active, de se lancer dans l’aventure, de la création …… pourquoi pas, car les contours restent flous, mais toujours en toile de fond un engagement positif pour une cause qu’ils estiment juste à leurs yeux celle de la préservation de la nature.
C’est lors d’un week-end dédié à la pratique de la voile sur les côtes bretonnes que le duo a pris en pleine face la triste réalité de ce constat, les déchets plastiques étaient partout.
Du plastique partout entre le port et les plages, quelle tristesse également de savoir que moins de 10 % du plastique produit à travers le monde depuis 2015 a été recyclé.
C’est un chiffre tout riquiqui qui prouve bien qu’en matière de valorisation des déchets et de recyclage, il reste beaucoup à faire !
Cette prise de conscience les a bien ébroués, quelque part un sacré uppercut en plein dans le moral. Après moult réflexions, diatribes endiablées, il a bien fallu se résoudre à admettre que le problème part tout simplement de nous.
Oui oui, de nous, de vous, de moi aussi et de notre duo, car savez-vous que plus de 60 % du plastique produit sur mon petite planète est à destination de …..de…. aller fin du suspens de l’industrie textile.
Attention, loin de moi de faire culpabiliser qui que ce soit, de toute façon cette méthode et façon de faire de quasi-criminaliser les personnes ne fonctionne absolument pas.
Le savoir, s’en rendre compte, y penser, en prendre conscience, en parler est déjà le début d’un processus de réflexion et de modifications en douceur des habitudes de consommation.
J’apprends aussi que les vêtements imperméables sont les pires élèves de la classe, mais je suis certaine d’une chose, c’est que celui d’O.Slow ne l’est pas.
On le sait les weekends entre amis sont des moments parfaits pour échanger et voir se concrétiser des projets, un peu fou ?
Jean Baptiste et Igor ont commencé leur réflexion sur comment est-il possible de vraiment valoriser tous ces déchets au lieu de les stocker, de les détruire ou carrément de les laisser dériver dans les océans.
Voilà comment est né O.Slow !
O.Slow, la marque, le concept, la mission
O.Slow c’est l’histoire d’une marque de vêtements d’extérieur, un peu, voire beaucoup différente des autres marques basées dans le même créneau. O.Slow conçoit et fabrique ses imperméables de façon un peu plus clean.
Les imperméables, Impertinent, sont en matière recyclée et recyclable, pas non plus confectionnés à l’autre bout de la planète pour nous, les ateliers étant situés en Europe, au Portugal et stylés avant tout !
O.Slow souhaite devenir une marque de référence dans l’éco-conception de vêtements.
Pour l’instant, O.Slow propose son imper décliné en quatre couleurs, rouge, bleu comme le mien, jaune et vert kaki et souhaite voir élargir sa gamme toujours dans le même esprit teinté d’authenticité, d’élégance et de joie de vivre.
Pour moi O.Slow représente bien cette nouvelle génération de marque engagée, sans être moralisatrice qui dispense une dose de bonne humeur avec des vêtements hyper stylés et confortables, conçus dans un processus responsable et éthique afin de nous faire profiter de la nature, d’être dehors tout simplement quel que soit le temps tout en la respectant !
O.Slow/Surfrider : un partenariat pour défendre les mêmes valeurs.
Limiter la pollution plastique est un sujet de questionnement vaste et intéressant.
Trouver des alternatives à son utilisation comme O.Slow est un défi comme lutter contre la propagation des micro-plastiques dans les espaces maritimes.
O.Slow a ainsi décidé de pousser son raisonnement et son action encore plus loin en soutenant l’association Surfrider Foundation Europe à qui la marque reverse 1 % de son chiffre d’affaires.
Depuis les années 90, Surfrider Foundation Europe est devenue une référence dans le combat pour la protection de l’océan et de ses usagers.
Surfrider Foundation Europe est une des associations dont la parole est la plus écoutée au niveau européen, le problème résiduel est dans le besoin de fonds afin de poursuivre sa mission de protection des espaces maritimes d’où le partenariat entre l’association et O.Slow noué à partir d’avril 2021.
Mon Impertinent avec une première présentation
Le nom est plutôt bien choisi, je le trouve totalement décalé, limite effronté. Pour moi, l’Impertinent casse les codes établis, c’est un bon coup de pied dans la fourmilière de la fast fashion.
Avec ce nom, il est évident que l’imperméable O.Slow détonne, pas seulement sur ce point, dans sa méthode de conception et de fabrication qui est écoresponsable et éthique.
L’Impertinent est une veste de pluie légère qui combine avec subtilité et intelligence mode et responsabilité.
Il se décline en 9 tailles de la 3 XS à la 3 XL et en 4 couleurs, jaune, rouge, vert kaki et bleu marine.
Il se prend pour une icône intemporelle de mode, en plus, il a tout à fait raison l’Impertinent, car il l’est totalement pour moi, iconique et unisexe également. J’aime cette dimension inclusive et non genrée.
Il est constitué d’un tissu trois couches qui est 100 % polyester recyclé donc 100 % recyclable, en effet, il est sans mélange de matière pour garantir sa totale recyclabilité.
Il est à la faculté et l’immense avantage d’être déperlant et imperméable, mais ça c’est plus que parfait pour la saison qui arrive !
L’impertinent est produit en circuit court entre la France pour le tissu et le Portugal pour la confection dans un atelier spécialisé dans les vêtements imperméables, moins de 1000 km séparent les deux endroits.
Mon impertinent avant d’arriver sur mes épaules n’a pas fait le tour de la planète ! Encore un très très bon point !
L’Impertinent, des matières premières éco-friendly ?
O.Slow, dès le début de la réflexion menée par les fondateurs, a le souhait de s’inscrire dans une démarche écoresponsable pour la conception de ses vêtements.
Deux paramètres semblent incontournables à prendre compte pour y parvenir :
- les matières qui vont être utilisées pour la confection du vêtement, ici un imperméable
- le lieu de sa fabrication
O.Slow, dans une vision globale et responsable du processus, a fermement pris la décision de ne négliger ni l’un ni l’autre des deux aspects.
La marque a fait le choix audacieux et pragmatique de n’utiliser que des matières recyclées à partir du plastique récolté en Atlantique et en Méditerranée en partie, ici du polyester recyclé et recyclable.
Bon là, on fait une parenthèse, saviez-vous que pour 1 kg de polyester recyclé contre 1 kg de polyester vierge produit, on utilise 94 % d’eau en moins, mais c’est incroyable ce chiffre, en plus on sait que cette ressource naturelle est précieuse, c’est hyper encourageant et rassurant, mais ce n’est pas tout, il y a aussi 60 % d’énergie en moins et 40 % d’émission de CO2 en moins.
C’est carrément du délire, ce polyester recyclé permet d’économiser sur les prélèvements et pollue bien moins pour sa fabrication !
Pour la fabrication de l’Impertinent d’O.slow, c’est la fibre Seaqual Yarn qui est utilisée.
Elle est recyclée et issue du plastique marin récolté en Méditerranée et en Atlantique comme mentionné plus haut à 10 % et du plastique post consommation pour 90 %.
O.Slow cherche à augmenter le ratio du plastique récolté en mer, mais pour l’instant avec les contingences de l’industrie, ce n’est pas encore possible. Mais seulement pour l’instant !
Pourquoi utiliser du polyester recyclé ?
En n’utilisant uniquement cette matière, O.Slow s’assure que ses produits seront recyclables en fin de vie.
Il faut savoir que ce n’est pas le cas pour les vêtements produits en coton recyclé et en polyester recyclé, aujourd’hui, il n’est pas possible de diviser les fibres naturelles et synthétiques lors du processus de recyclage.
L’article connait donc un aller sans retour pour la décharge ou l’incinérateur. C’est encore un autre contingent à prendre en compte et souvent méconnu du grand public.
Je fais mon mea culpa car je ne le savais non plus avant d’échanger avec les fondateurs de la marque qui ont pris le temps de me l’expliquer !
Un geste pour la planète en produisant localement
Les 3/4 des fringues achetées en France sont fabriqués en dehors de l’UE.
Je trouve ce chiffre sur le site O.Slow, sincèrement, je pensais qu’il était bien plus élevé.
En plus, maintenant, quand vous regardez les étiquettes de vos vêtements, de plus en plus, on ne sait même pas où ils sont confectionnés.
J’ai beau faire de plus en plus attention pour moi, pour les enfants, il est parfois difficile de ne pas acheter des articles qui viennent de l’autre bout de la planète.
Mais les choses changent et les mentalités évoluent. Certes doucement, pas à pas, mais la dynamique est bien présente !
Soyons objectif en ne nous voilant pas la face, le made in France coûte cher, la marque le reconnait bien volontiers.
Il a donc fallu faire des choix notamment pour une structure jeune, le démarrage n’est pas toujours facile.
Le but d’O.Slow est dans un premier temps de proposer un vêtement de pluie écoresponsable qui soit le plus abordable possible afin de sensibiliser le plus grand nombre sur le sujet désastreux de la pollution et de la fast-fashion.
Le tissu réalisé à partir des déchets plastiques collectés en Méditerranée et dans nos poubelles jaunes est réalisé dans le sud de la France dans les usines partenaires de la marque, elles sont toutes labélisées France Terre Textile et OEKO-TEX, label de référence mondial.
Ce tissu made in France est expédié dans le nord du Portugal près de Porto, ce qui n’est pas si mal que ça en termes de déplacement de marchandises et plutôt très bien pour garantir une production locale au sein de l’Union Européenne.
L’atelier au Portugal est spécialisé dans la confection de vêtements d’extérieur.
France Portugal c’est également l’assurance d’une production éthique pour les salariés avec des conditions de travail décentes et une juste rémunération. C’est un aspect à prendre en considération et qui est important selon moi !
Dissection de l’Impertinent
C’est un vêtement éco conçu comme je viens de l’expliquer. Il a, pour moi et je me répète peut-être, des lignes atemporelles. Impossible qu’il soit démodé.
Coupe stylée, parfaite pour la saison à venir, car l’Impertinent est imperméable et coup vent.
Pendant cet été, je ne m’en suis pas servie beaucoup, mais il m’a été d’une grande utilité lors de notre arrivée à Cracovie où il pleuvait des cordes. Moi, j’étais bien à l’abri et protégée avec mon imper sur les épaules.
La technologie trois couches de son tissu made in France est à l’origine de son efficacité contre la pluie et le vent.
Il est vraiment très léger à porter, il ne prendra donc pas de place dans votre valise si vous souhaitez le prendre avec vous. Il se plie et surtout ne se froisse pas, ça c’est tellement bien !
Il se glisse aussi très facilement dans un sac à dos pour toutes les sorties pendant lesquelles le temps s’annonce incertain.
Un point qui me plait vraiment beaucoup, sa capuche ne fait qu’un avec l’ensemble de l’imperméable.
Pour couronner le tout, elle prend parfaitement sa place sur le haut du dos sans devoir la positionner et la repositionner.
Cela même en le mettant sur la tête et en l’enlevant, là aussi, c’est un avantage, car j’ai horreur d’avoir la capuche dans le dos mal mise, c’est peut-être un détail, mais moi ça me gêne ! Un élément de confort en plus !
Mais ce n’est pas tout, quand il pleut, la capuche protège plus que très bien le visage et avec la présence de deux pressions avec un cordon de serrage, on est à l’abri des averses d’automne, de n’importe quelle autre saison et il n’y a pas de vent qui s’engouffre, car ça, c’est super désagréable.
Je fais 1 mètre 74, au niveau de la longueur, il m’arrive 10 cm au-dessus du genou, le bas du dos et les hanches sont bien protégées. Pour moi, la longueur est juste parfaite.
Habituellement, je fais un 40.42, la taille L est celle qui me convient notamment pour l’amplitude des mouvements qui n’est pas entravée et je peux porter en dessous facilement un sweat ou un petit pull sans me sentir à l’étroit.
Comment puis-je savoir que c’est la taille idéale, la couture de l’épaule arrive pile-poil au bout de mon épaule.
La fermeture de la veste se fait avec des boutons pressions, deux sont en haut dans la continuité de la capuche pour une protection optimale et maximale du haut du corps.
Il y a 7 autres boutons pour garantir la fermeture de l’imper sur le reste du corps. Avec le système des pressions, il est possible de les fermer toutes, une seule, finalement le nombre que l’on veut suivant les conditions climatiques et l’utilisation du moment !
Les poches, moi, j’adore ça. Mettre les mains dans les poches, surtout une et quand il fait frais le matin.
Alors pas les deux car j’ai souvenir de mea copine Véro qui se casse la figure en montant les escaliers avec les mains dans les poches sans pouvoir se rattraper ! Donc j’évite.
Allez revenons aux poches de l’imperméable, sont disposées en biais avec une pression et de manière que l’eau ne puisse pas entrer à l’intérieur avec le petit rabat et l’inclinaison de l’ouverture.
Je trouve cet agencement hyper astucieux, car votre main est toujours au sec y compris ce que vous avez mis dans la poche, téléphone, petit carnet ou autre d’autant qu’elles ont une belle capacité de contenance, mais après plus les poches sont grandes plus, on en met dedans !
Il y en a également une à l’intérieur, parfaite pour recevoir un téléphone portable et même un portefeuille avec tous les papiers qui vont avec.
Pour finir la présentation, je souhaite ajouter qu’au niveau des manches, il y a aussi une pression, je préfère des manches resserrées que larges, après cet aspect, on est bien d’accord que c’est une question de goût tout simplement.
Sous les aisselles sont présents deux petits trous pour une circulation optimale de l’air et éviter les excès de transpiration. Moi j’adore ce genre de petits détails !
Oulala j’allais oublier de parler de la couleur. J’ai eu un gros coup de cœur pour le rouge, c’est une évidence, mais j’ai déjà en ma possession deux vestes de cette couleur et je crois sincèrement qu’il est bon de sortir de ses sentiers battus de temps à autre.
Le bleu, bleu marine est là aussi une valeur plus que sûre en termes de couleur qui se combine et s’accorde avec quasi tout !
En plus, ne vous avais-je pas déjà écrit que le bleu allait être la couleur de la rentrée dans toutes ses déclinaisons ?
Tout ça pour vous dire simplement que l’Impertinent est un super imperméable, oui dans sa conception écoresponsable, dans la philosophie de la marque aussi, dynamique, avec un esprit extra sans sens moralisateur et dans sa coupe hyper légère et confortable.
Comment ne pas écrire que c’est un gros, non pas du tout un immense coup de cœur ! Je l’adore totalement !
Je vous conseille de visiter le site en ligne d’O.Slow, de vous inscrire comme moi à leur newsletter pour être informé sans oublier leurs réseaux sociaux comme le profil Instagram et la page Facebook qui sont des pépites au niveau des informations complémentaires et de mises en lumière de l’Impertinent !